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Out of human.
Nature au large
Au large de la voie
Invisiblement pourrie
Au sens large
Où l’Homme a trahi
Son passage
En terre Paradis.
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Amerigo Vespucci
Pourquoi ce déni ?
Indiens des peines,
Trop tard.
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L’air silencieux
N’a d’amis que les âmes
Proches de la Nature
Dame ! N’est pas taiseux qui veut.
Autant chercher l’arme du crime
Au cœur même du sublime.
Ô Ouest Américain
Comme offrande au solitaire
Qui ne cherche que lui
Au fin fond du mystère
Cahin caha ; sur la Terre.
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Peu importe qui nous sommes,
La fleur se réhidrate au matin.
Le sentiment de l’instant
N’atteint jamais l’homme
Occupé à produire sans fin.
Dans le feu de l’action, le vent.
Impermanence du Vivant.
Si les oiseaux des champs
Déchantaient,
Le chant des sirènes
Alors rendrait les clés
De la raison.
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Soudain, la lenteur du soir
Frénésie d’espoir sur la crête
Des heures accomplies
Où va la vague ?
Soudain, venir s’asseoir
Sur la survie que rien n’arrête
Sous ses airs de replis
Le biotope nous nargue.
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Entre suroît et marée,
Je ne me cherche plus ;
Le vent saoule moins que le vin,
Je ne me cherche plus ;
La pensée fugace du regard
Sur le trou d’eau isolé.
Je ne cherche plus,
Plus rien que l’instant de l’espace.
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Vitale à l'étale © 2014 Textes protégés, reproduction interdite.