Vitale à l’étale

ffffffff

ffffffff

Out of human.
Nature au large
Au large de la voie
Invisiblement pourrie
Au sens large
Où l’Homme a trahi
Son passage
En terre Paradis.

ffffffff

ffffffff


ffffffff

ffffffff

Amerigo Vespucci
Pourquoi ce déni ?
Indiens des peines,
Trop tard.

ffffffff

ffffffff


ffffffff

ffffffff

L’air silencieux
N’a d’amis que les âmes
Proches de la Nature
Dame ! N’est pas taiseux qui veut.
Autant chercher l’arme du crime
Au cœur même du sublime.

Ô Ouest Américain
Comme offrande au solitaire
Qui ne cherche que lui
Au fin fond du mystère
Cahin caha ; sur la Terre.

ffffffff

ffffffff


ffffffff

ffffffff

Peu importe qui nous sommes,
La fleur se réhidrate au matin.
Le sentiment de l’instant
N’atteint jamais l’homme
Occupé à produire sans fin.

Dans le feu de l’action, le vent.
Impermanence du Vivant.

Si les oiseaux des champs
Déchantaient,
Le chant des sirènes
Alors rendrait les clés
De la raison.

xxxxxx

xxxxxxx


xxxxxx

xxxxxxx

Soudain, la lenteur du soir
Frénésie d’espoir sur la crête
Des heures accomplies
Où va la vague ?

Soudain, venir s’asseoir
Sur la survie que rien n’arrête
Sous ses airs de replis
Le biotope nous nargue.

xxxxxx

xxxxxxx


xxxxxx

xxxxxxx

Entre suroît et marée,
Je ne me cherche plus ;
Le vent saoule moins que le vin,
Je ne me cherche plus ;
La pensée fugace du regard
Sur le trou d’eau isolé.
Je ne cherche plus,
Plus rien que l’instant de l’espace.

xxxxxx

xxxxxxx

Vitale à l'étale © 2014
Textes protégés, reproduction interdite.