La nature anéantie
Par le nanti de lui-même,
Le bipède en transit
De peur, s’accrocha
À toute forme de lingot,
Rechercha la puissance
Le temps d’une fuite
Détruisant l’essentiel
À gogo.
La nature et le nanti
Ne purent se parler,
Dans l’antichambre
De l’esprit occulté
Le mâle mû par l’angoisse
Se trompa de survivance,
Et la terre rendue inféconde
Changea de danse
Ronde.
Le nanti dans le déni
Resta lui-même
Tordant le cou au paradis
De l’écosystème,
Et les guerres perpétuelles
Prirent des allures
De citadelles
Contre la Nature
À l’agonie.