Dans les décombres
De nos existences,
Des âmes en pénitence
Ne dorment jamais,
Profitant de la nuit
Pour passer l’éponge.
Alors le fiasco résonne
Du désastre de l’occupant
À l’avidité mortifère.
Face au champ de l’ego
Le chant de l’oiseau détonne,
Attendant le sanctuaire.
La conscience est légère
Dans le sommeil profond,
Mais le temps éphémère
Veille sur nos démons.
L’angoisse du rien
Raisonne toujours le fou.