Parangon de parasite

 

Le parasite colonisateur a repeint
La terre sous toutes les coutures,
Marqué la boule à zéro
De son ego triomphant.
Passe ton chemin, Univers
La loi du Talion a dégénéré.

Le vide résonne, fébrile
Bouché par des intentions viles.
L’odorat quitte l’élixir
À l’aube du devenir.
La division fausse la route
Du parasite dépourvu de doutes.