Pour célébrer l’hiver entamé, un modeste retour aux fondamentaux en forme de boucle. Dès l’enfance, les mots m’ont servi à imager ce que mon esprit découvrait de la vie, ses visions, questionnements et ressentis.
C’est avec surprise et sourire que j’ai retrouvé ce petit texte choisi par les fondateurs du second numéro annuel, édition 1975, d’une revue écologique locale, aux fins de l’agrémenter sans doute. Je l’avais complètement oublié.
Mes nimbes neuronales étant cotonneuses, je profite de cette trouvaille pour laisser rêver dimanche.