La lune brille surtout en juillet

Assise sous la voûte
Ma lune attendrissante
étincelante
éblouissante
Au pied de mon regard.

Le vent te tourne la tête
Et c’est moi qui perds la boule,
Les jambes trop lourdes pour te rejoindre
Mon cœur admire ta fidélité
Ô sœur de joies attristées.

Je loue tes nuits d’été
Aux désespoirs embastillés,
L’ère du Je regarde ailleurs
Le temps de filer droit.
Surtout retiens ta garde !