L’envol d’un épicurien

Marcel Conche est parti.
Hasard, depuis décembre dernier, j’avais en tête de parler de lui dans un prochain article au moment de son anniversaire… ce 27 mars, heureuse à l’idée de souligner ses 100 ans.

Mon hommage était sur les rails, mais c’était sans compter sur le destin de ce discret philosophe qui est mort le 22 février dernier. Je l’ai appris il y a peu et me suis retrouvée à la fois triste et un peu désarçonnée par cette éventualité devenue brusquement réalité : sa disparition.

Je reprends ma plume virtuelle pour évoquer, au passé cette fois, cet esprit atypique. La première fois que j’en ai entendu parler, c’est (quel étonnement) par mon érudit de père qui m’avait prêté un livre de sa bibliothèque.

Épicurien : la vie et rien d’autre

La Liberté, (Encre Marine, 2011), voilà bien un titre enchanteur. Je ne l’ai pas lu, mais voici, datant de 2012, une conférence de Marchel Conche sur la liberté

Pour lui, « la nature est poète » !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marcel_Conche
citations.institut-iliade.com/il-faut-distinguer-la-morale-de-lethique
Spinoza et Marcel Conche devant la Nature (Cairn)